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Biographies d’Ernest Pignon-Ernest

Voici quelques biographies concernant Ernest Pignon-Ernest.

Biographie d’Ernest Pignon-Ernest (par le site dédié à l’artiste contemporain F. Moreeuw). (consulté le 21/03/11, auteur inconnu)

Cette biographie a pour objectif d’expliquer comment Ernest-Pignon en est venu à pratiquer le Street-Art et le trompe-l’oeil en particulier, comment il choisit les villes et les murs sur lesquels il va afficher ses sérigraphies et, finalement, comment il choisit le sujet sur lequel il va travailler. A cette courte biographie, s’ajoute deux citations d’Ernest Pignon-Ernest, expliquant le procédé de son travail.

Biographie et extrait d’entretien. (consulté le 31/03/11, source : Petit dictionnaire des artistes contemporains)

Cette seconde biographie d’Ernest Pignon-Ernest, que nous vous proposons, explique plus précisément le procédé qu’utilise l’artiste (matériaux utilisés, échelle, etc.). Elle s’attarde aussi sur l’engagement politique de Pignon-Ernest à travers ses oeuvres pour finalement s’intéresser à ses oeuvres en 3D. Un extrait d’Entretiens de Ernest Pignon-Ernest (éditions Herscher, Paris, 1990) s’ajoute à cette biographie concernant les Aborigènes. Quelques photographies des oeuvres de l’artiste sont aussi présentes.

« La rue est ma palette » : Extrait d’entretien avec Catherine Pont-Humbert (extrait de l’émission « A voix nue » de France Culture). (consulté le 27/03/11, entretien avec Catherine Pont-Humbert)

E. Pignon explique sa démarche, son choix de travailler dans la rue et comment il puise son inspiration dans la ville et son histoire. Il se concentre sur ses différents travaux et comment chaque ville/rue influence son travail.


Les débuts d’Ernest Pignon Ernest

Pour débuter notre étude sur les oeuvres d’Ernest Pignon Ernest, un artiste engagé, nous allons consacrer cet article aux premiers pas de l’artiste dans le monde du Street art, en 1966. C’est sur le plateau d’Albion (France) que l’artiste a choisi d’y intégrer son oeuvre, en réponse à l’installation de la frappe nucléaire française sur ce territoire.

La démarche de l’artiste pour cette première oeuvre « in situ », est expliquée dans plusieurs articles :

Paris Art : Interview d’Ernest Pignon Ernest (consulté le 03/04/11, interview réalisée à l’atelier collectif la Ruche)

Ce premier article rend compte d’une interview très intéressante de l’artiste à propos de son travail, des matériaux qu’il utilise, de ses expérimentations et du rapport avec le public.

Les artistes contemporains : Interview de l’artiste (consulté le 03/04/11, Dossier de presse de la rétrospective Ernest Pignon-Ernest à Evian fourni par Heymann)

Le Figaro : Ernest Pignon Ernest à Montauban, quand l’art fait le mur (consulté le 03/04/11, auteur : Véronique Prat)

Ces articles nous permettent d’avoir une idée précise de ce que vont être les oeuvres d’Ernest Pignon Ernest dans le futur et ils nous informent sur le but de l’artiste. De plus, il est intéressant de noter que ce sont les thèmes qui l’intéressent, et non les lieux, dans un premier temps. Ce sont ces thèmes qu’il défend et que nous allons étudier dans les prochains articles qui seront consacrés à cet artiste.


Photographie de la catastrophe nucléaire d’Hiroshima, le 6 Août 1945 au Japon, auteur inconnu. Photographie qui sert de modèle pour la première oeuvre « in situ » d’Ernest Pignon Ernest.


Sur l’avortement, 1975

Après avoir travaillé sur différents sujets comme celui de la Commune de Paris en 1971, Ernest Pignon Ernest se penche sur un sujet politique épineux, celui de la légalisation de l’avortement en France. L’artiste expose alors, en 1975, à Tours, Paris, Nice et Avignon, une affiche sur laquelle est dessinée une femme nue, souffrante, les jambes écartées (Sur l’avortement). A travers cette oeuvre, l’artiste s’intègre dans les préoccupations de son époque et il y réagit, grâce à ces dessins.

« La poésie est une arme, chargée de futur. » (consulté le 25/04/11, signé « L’équipe Blabla »)

Art line : Ernest Pignon Ernest, in situ dans les maux de la rue. (consulté le 03/04/11, Nadège Moréau)

A travers ces deux articles, nous découvrons réellement l’impact de l’oeuvre d’Ernest Pignon Ernest sur le spectateur. Le premier article, plus poétique et plus concis, s’attarde sur le contexte et aborde de manière assez générale plusieurs oeuvres de l’artiste alors que le second article est beaucoup plus spécifique, il traite du moyen plastique employé par l’artiste, chose que le premier article ne faisait qu’effleurer.


Ernest Pignon : « Une pieta Sud-Africaine », 2002

Suite à la révolte de Soweto le 16 Juin 1976 qui l’a beaucoup marqué, Ernest Pignon Ernest choisi de s’inspirer d’une photographie qui a scandalisé l’opinion de l’époque pour créer une oeuvre qui aborde le sujet du Sida qui frappe tout particulièrement l’Afrique du Sud à cette époque.

Sur cette page (issue du site officiel d’Ernest Pignon Ernest), Pierre Barbancey nous explique d’où provient l’inspiration de l’artiste pour son oeuvre sur le sida. (Consulté le 25 Avril 2011.)

Ce texte « La rue comme palette »  est un travail universitaire qui s’intéresse à Ernest Pignon Ernest et plus particulièrement à son oeuvre « La pietà Sud-Africaine » (2002). (Consulté le 28 Avril 2011.)

Dans cet article sont clairement exprimées les motivations d’Ernest Pignon Ernest pour cette oeuvre. L’on nous explique aussi le contexte de l’Afrique à cette époque et l’oeuvre est expliquée ainsi que sa réception. (Consulté le 28 Avril 2011.)

"La pietà Sud-Africaine", Ernest Pignon Ernest, 2002.