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Sur l’avortement, 1975

Après avoir travaillé sur différents sujets comme celui de la Commune de Paris en 1971, Ernest Pignon Ernest se penche sur un sujet politique épineux, celui de la légalisation de l’avortement en France. L’artiste expose alors, en 1975, à Tours, Paris, Nice et Avignon, une affiche sur laquelle est dessinée une femme nue, souffrante, les jambes écartées (Sur l’avortement). A travers cette oeuvre, l’artiste s’intègre dans les préoccupations de son époque et il y réagit, grâce à ces dessins.

« La poésie est une arme, chargée de futur. » (consulté le 25/04/11, signé « L’équipe Blabla »)

Art line : Ernest Pignon Ernest, in situ dans les maux de la rue. (consulté le 03/04/11, Nadège Moréau)

A travers ces deux articles, nous découvrons réellement l’impact de l’oeuvre d’Ernest Pignon Ernest sur le spectateur. Le premier article, plus poétique et plus concis, s’attarde sur le contexte et aborde de manière assez générale plusieurs oeuvres de l’artiste alors que le second article est beaucoup plus spécifique, il traite du moyen plastique employé par l’artiste, chose que le premier article ne faisait qu’effleurer.


Ernest Pignon : « Une pieta Sud-Africaine », 2002

Suite à la révolte de Soweto le 16 Juin 1976 qui l’a beaucoup marqué, Ernest Pignon Ernest choisi de s’inspirer d’une photographie qui a scandalisé l’opinion de l’époque pour créer une oeuvre qui aborde le sujet du Sida qui frappe tout particulièrement l’Afrique du Sud à cette époque.

Sur cette page (issue du site officiel d’Ernest Pignon Ernest), Pierre Barbancey nous explique d’où provient l’inspiration de l’artiste pour son oeuvre sur le sida. (Consulté le 25 Avril 2011.)

Ce texte « La rue comme palette »  est un travail universitaire qui s’intéresse à Ernest Pignon Ernest et plus particulièrement à son oeuvre « La pietà Sud-Africaine » (2002). (Consulté le 28 Avril 2011.)

Dans cet article sont clairement exprimées les motivations d’Ernest Pignon Ernest pour cette oeuvre. L’on nous explique aussi le contexte de l’Afrique à cette époque et l’oeuvre est expliquée ainsi que sa réception. (Consulté le 28 Avril 2011.)

"La pietà Sud-Africaine", Ernest Pignon Ernest, 2002.